La réalité entrepreneuriale en France, face aux influenceurs de Dubaï.
Il est 5h du matin. Paris dort.
Pas un bruit dans l’immeuble.
Pas encore de camion-poubelle ni de métro.
Juste ce silence… un peu magique, un peu irréel.
Toi, tu es debout parce que c’est la seule façon d’avoir un peu de calme dans cette maison.
Tu marches lentement, pieds nus sur le carrelage froid de la cuisine.
Tu glisses deux dosettes dans la Senseo.
La machine tousse, puis se met à vibrer doucement.
Glouglou-glouglou-glou.
L’odeur du café chaud commence à envahir la pièce.
Un peu trop amer, un peu trop fade… mais c’est ton rituel, ton moment à toi.
Et là, pendant que la tasse se remplit, tu te surprends à y penser, encore une fois :
“Un jour, j’me prendrai une Nespresso.”
Tu ouvres la fenêtre.
L’air est doux, un peu lourd. L’été est déjà là, même à cette heure.
Le ciel commence à changer, des touches de rose, de bleu pâle, d’or qui caresse les toits gris.
Tu t’assieds sur le canapé, tasse dans la main gauche, téléphone dans la droite.
Et tu scrolles, tranquille.
Des danseuses, des danseurs, des extraits de films, des citations.
Et là, algorithme oblige, tu tombes sur plusieurs vidéos de routines “d’entrepreneurs”.
Les mecs vivent à Dubaï.
Ils se lèvent à 3h29 (oui, 29). Commencent leur journée avec 100 pompes, un bain glacé, un sauna,
Bugatti, salle de sport, piscine…
Et à 6h12, ils se posent enfin… pour boire une tasse de matcha.
Toi, tu n’as jamais goûté à ça.
Et franchement, une tasse de crème verte le matin ? Non merci.
Déjà, pour te réveiller à 3h29, faut soit faire semblant… soit ne pas avoir un vrai boulot.
C’est vrai quoi.
Depuis plusieurs mois, tu vois ces faux auto-entrepreneurs qui roulent en Bugatti, qui ont des routines de malade, des corps de bodybuilders.
Tu ne les vois jamais bosser.
Mais ils vendent des formations pour “faire de l’argent en dormant”.

Le truc, c’est que… même si c’est du vent, ça reste un business model.
Pendant que toi, tu es en caleçon sur le canapé,
Tes abdos ont disparu quelque part entre les pizzas du samedi soir et la dernière facture Urssaf.
Et te lever à 3h29 pour faire des pompes ?
Cela voudrait dire que tu n’aurais dormi que 3 heures et 29 minutes, pas plus.
Non, ce n’est pas ça, l’entrepreneuriat.
L’entrepreneuriat, c’est de l’administratif.
De la galère.
De la compta.
Encore de la galère.
Du service client.
Toujours de la galère.
De la prospection. Et devine quoi ? De la galère.
Tu bois la dernière gorgée de ton café.
Tu entends l’alarme de ta femme.
Elle va bientôt sortir du lit pour aller réveiller les enfants.
Tu te dépêches de te cloîtrer dans la salle de bain.
Ton bunker.
Ça, les entrepreneurs de Dubaï, ils ne connaissent pas.
Partager une salle de bain entre deux adultes et trois enfants.
Tu es assis, tu regardes ta baignoire.
Et tu imagines y balancer des glaçons.
Oui, c’est ça. Tu n’as que ça à faire.
Sauf qu’en vrai, tu as deux missions qui se terminent cette semaine.
Et tu as besoin de trouver autre chose rapidement.
Tu ressors ton téléphone.
Et là… tu tombes sur une image qui t’interpelle.

Des clients dans ta ville. Pour moins que le prix d’un café. 27 centimes par jour.
C’est Stéphane Plaza.
Tu ne savais même pas qu’il faisait autre chose que de l’immobilier et de la télé.
C’est un carrousel.
Tu swipes rapidement.
Ça n’a pas l’air con, en fait.
Une sorte d’Uber pour les services.
Et ça marche même pour les plombiers comme toi.
27 centimes par jour.
Sans engagement.
Et surtout : zéro commission.
Ça change de travaux.com.
Eux, ils t’ont encore ponctionné 20% sur ta dernière mission.
Là, tu t’inscris.
C’est rapide.
Simple.
Et pour la première fois depuis longtemps,
Tu sens peut-être… un petit changement.
On est loin de la fiction à la Dubaï. Mais toi, tu vis dans la vraie réalité entrepreneuriale française.
Et Plaza, avec Soveur… ça ressemble à une petite révolution bien tangible, pour une fois.
Allez, te rendre visible et trouver des clients ne devrait pas être un combat.
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